Depuis quelques jours, il ne fallait pas me parler de triathlon: boule au ventre assurée rien qu’en y pensant.
Il faut dire que vu l’investissement temps/ frousse dépassée/matos/copains embarqués depuis un an, je me suis auto collé une pression d’enfer.
Samedi, nous sommes allés chercher mon dossard en famille et poser mon vélo. Le stress est monté graduellement dans la soirée et jusqu’au matin. C’est bien simple, dimanche matin, je ne parlais plus. Le truc le plus improbable pour moi (mes amis témoigneront).